La biorésonance c’est quoi ?
La biorésonance est une approche fréquentielle du bien-être, non médicale, qui offre un accès moderne à la dimension vibratoire du vivant. Chaque cellule, chaque tissu et chaque système du corps émet des micro-oscillations électromagnétiques mesurables. À l’aide de capteurs et d’algorithmes d’analyse signal, ces informations sont traduites en une cartographie fréquentielle individuelle : une sorte d’empreinte énergétique propre à chaque personne.
Depuis des millénaires, les traditions orientales décrivent la circulation subtile de l’énergie vitale — le Qi (Chi) — comme un flux essentiel à l’équilibre global. La biorésonance s’inscrit dans cette vision, mais avec des outils contemporains capables d’objectiver le terrain fréquentiel : on observe des variations, des cohérences, des zones de tension ou de dispersion, puis on propose des ajustements fréquentiels ciblés.
Cette lecture mesurée du terrain aide ainsi à soutenir la fluidité, la cohérence interne et le dynamisme global, dans une démarche d’accompagnement orientée vitalité et équilibre.
Harmonie fréquentielle
Fréquences électromagnétiques
Biorésonance et Vitalité
Champ d’énergie
Analyse quantique
Approches de Bien-être
Principe de fonctionnement
Dans l’approche de la biorésonance – qui s’inscrit clairement dans le domaine du bien-être et ne se substitue en rien à une démarche médicale – le corps est considéré comme un ensemble de systèmes organisés (artères, veines, nerfs, muscles, etc.), eux-mêmes constitués de cellules.
Chaque groupe de cellules est vu comme un système biophysique qui émet des signaux vibratoires, décrits sous forme de fréquences caractéristiques, parfois appelées « signatures énergétiques ».
Lorsque ces fréquences restent cohérentes entre elles et avec le reste de l’organisme, on parle d’un état d’harmonie et d’équilibre global. Quand cette cohérence se perturbe, on évoque une dysharmonie fréquentielle, interprétée comme un déséquilibre au niveau de la vitalité du tissu ou de la zone concernée.
Un appareil de biorésonance est conçu pour analyser ces informations fréquentielles, repérer les zones de dysharmonie, puis envoyer des fréquences de « correction ».
Chaque fréquence correctrice possède une signature particulière, porteuse d’une information spécifique, un peu comme une fréquence radio qui transporte un signal précis.
Selon ce modèle, ces fréquences de correction entrent en bio-résonance avec les cellules en dysharmonie – et uniquement avec celles-ci – et soutiennent un processus de réorganisation afin de favoriser un retour vers un état plus harmonieux et cohérent avec l’ensemble de l’organisme.
On peut comparer l’appareil de biorésonance à un chef d’orchestre : il détecte l’instrument qui se désaccorde légèrement et invite le musicien à ajuster sa note pour retrouver l’harmonie avec tout l’orchestre, au service de l’équilibre et de la vitalité globale, dans une démarche de soutien au bien-être.
Historique
Les origines conceptuelles souvent associées à la biorésonance remontent aux travaux de plusieurs chercheurs du début du XXᵉ siècle.
Le biologiste russe Alexander Gurwitsch a proposé, dans les années 1920, que certaines cellules végétales émettent une « radiation mitogénétique », c’est-à-dire un rayonnement lumineux très faible dans l’ultraviolet, susceptible d’influencer la division cellulaire voisine. Ces travaux, aujourd’hui rapprochés du champ des biophotons, ont contribué à l’idée que le vivant pourrait échanger aussi de l’information sous forme de signaux lumineux ou électromagnétiques.
Dans les années 1930, l’ingénieur Georges Lakhovsky avance l’hypothèse que chaque cellule se comporte comme un « circuit oscillant », capable d’émettre et de capter des ondes électromagnétiques à des fréquences propres. Selon lui, la qualité de ces oscillations serait liée à l’état d’équilibre global de l’organisme. Il conçoit alors des circuits oscillants en forme d’anneaux métalliques et développe des dispositifs comme l’oscillateur à ondes multiples pour exposer des plantes, des animaux ou des humains à des champs électromagnétiques de fréquences variées, dans l’idée de soutenir leurs capacités naturelles de régulation.
Ce n’est que plusieurs décennies plus tard, dans les années 1970, que le terme « biorésonance » apparaît avec les travaux du médecin Franz Morell et de l’ingénieur Erich Rasche, qui conçoivent les premiers appareils MORA destinés à capter puis à réémettre des signaux électromagnétiques issus du corps.
Aujourd’hui, la biorésonance est généralement présentée comme une approche énergétique et de bien-être, complémentaire d’un suivi médical classique. Elle ne remplace ni un diagnostic, ni un traitement prescrits par un professionnel de santé, mais s’inscrit comme une démarche d’accompagnement visant à soutenir l’équilibre global et la vitalité de la personne.
La biorésonance-Bio-impédance
Dans les années 1950, Reinhard Voll, médecin et ingénieur allemand développe un appareil capable de mesurer électriquement les points d'acupuncture. L'appareil de Voll, ancêtre de tous les appareils actuels de biorésonance, est capable de mesurer les signaux « pathologiques » ainsi que les fréquences électromagnétiques des remèdes correcteurs.
Des ingénieurs (souvent allemands) vont développer la technologie de l'appareil de Voll en ajoutant des fonctionnalités et accessoires. Cependant, ils utiliseront toujours les principes du passage d'un faible courant électrique et la mesure de sa résistance (impédance) pour effectuer analyses et corrections. Ces appareils se caractérisent donc par la présence d'un contacteur cutané (front, main, pied, doigts…).
Ces appareils, munis d'interfaces plus ou moins modernes et d'utilisation parfois longue et fastidieuse, ont été à la pointe de la biorésonance dans les années 1970-2000. Les marques les plus connues sont : Appareil de Mora, Appareil de Voll, Global Diagnostique, Life System, Bicom, Rayonex…
La biorésonance NLS
Dans les années 60-90, les scientifiques russes, dans le cadre du suivi des paramètres physiologiques des cosmonautes, ont écrit une nouvelle page dans l'histoire de la biorésonance avec la technologie NLS (non linéaire system).
Basés sur les échanges d'information au niveau quantique ainsi que l'utilisation de technologie basée sur la lumière infrarouge pour effectuer mesures et corrections, les russes ont développé une interface informatique graphique, imagée et simple d'utilisation.
La technologie NLS connaîtra un grand succès par son usage modernisé, facilité et plus efficace des principes de biorésonance.
La technologie NLS
Principe scientifiques :
Cette technologie récente s’appuie sur plusieurs concepts issus de travaux scientifiques contemporains.
Voici une synthèse simplifiée de ces notions, afin de les rendre accessibles au plus grand nombre :
La théorie du Chaos
« un battement d'aile de papillon au Brésil peut déclencher une tornade au Texas » (E Lorenz, physicien). Cette phrase résume la possibilité qu'une impulsion faible, dans un système dynamique (comme le corps), puisse générer un effet démultiplié. C'est la base du système non linéaire (= non proportionnel : une petite impulsion de départ peut avoir un grand effet).
La théorie de la logique entropique quantique
La théorie de la logique entropique quantique étudie les lois générales de l'acquisition et du traitement de l'information dans les systèmes suivant les lois de la mécanique quantique, en utilisant des modèles mathématiques. Permet de définir les lois qui définissent les échanges d'informations dans le corps et les conditions qui sont sous jacente à la libération de l'information.
Les canaux d'informations non linéaires et l'intrication quantique
Étudie la position particulière de l'enchevêtrement quantique dans la conception d'un canal d'information non linéaire. Permet la conception et le calibrage du générateur quantique non linéaire (le boîtier de l'appareil NLS).
Pourquoi la technologie NLS
Dans le contexte de la guerre pour la maitrise des voyages spatiaux de longues durées, il était indispensable de pouvoir suivre les paramètres physiologique des cosmonautes, dans un petit espace et avec une faible dépenses d'énergie.
Des moyens considérables ont été libérés pour penser et créer cette nouvelle technologie biorésonance. Aujourd'hui, cette famille d'appareil est utilisé comme appareil de diagnostique différentiel dans le milieu médical Russe.
A la chute du mur de berlin, de nombreux scientifiques et ingénieurs russes se sont retrouvés sans revenus et ont « occidentalisé » le logiciel et démarré une commercialisation hors Russie. Les premiers appareils NLS sont apparus en 2005 (Métatron-obéron, Introspect-Biospect et Physiospect-Physioscan) en occident. Par la suite, les appareils NLS originaux russes ont souvent été copiés par des personnes ne maitrisant pas la technologie et le calibrage.
Ci-dessous, les publications scientifiques en lien avec la technologie NLS.
1. Entropy Logic Theory And Expanding Horizons Of Consciousness
2. How It Works – IPP Nonlinear NLS Diagnostic Systems
3. Nonlinear (NLS) Diagnostic Systems
4. Psychophysics As New Priority In Modern Science
5. Quantum Entropic Logic Theory And Quantum Computer
6. Quantum Entropic Logic Theory2
7. Quantum-Correlational Interactions In Psychophysical Systems
8. Theodore Van Hoven's Quantum Entropic Logic Theory
Histoire et évolutions de la technologie
Au fil des années, plusieurs générations d’appareils se sont succédées, chacune apportant des avancées notables tant sur le plan matériel que logiciel.
Versions de la technologie
Version 7 : Casque + émetteur IR externe. Système d'image à plat (liste). BDD environ 6 familles de fréquences. Les fonctionnalités de base sont présentes avec quelques images et une base de donnée sommaire. Les bruits émis par le casque rendent l'usage de l'appareil presque insupportable.
Version 11 : Casque (sans bruit) + émetteur IR externe. Système d'image à plat (liste). BDD environ 12 familles de références. La structure du système d'image ainsi que la BDD de référence est en place. L'émetteur IR externe est très sensible au mouvement des patients, ce qui crée des déconnexions de faisceau.
Version 15-17 : Casque + émetteur IR interne. Système d'image à plat (liste). BDD environ 12 familles de références. L'émetteur IR est intégré dans le casque. La rapidité du scan est améliorée significativement.
Version 21 : Idem version 15-17 + Système d'image en 3D de l'organe à l'ADN (liste de cibles + possibilité de cliquer dans la structure des tissus, ce qui démultiplie les possibilités). La BDD est enrichie (jusqu'à 50-60 familles de fréquences). Apparition de nouvelles fonctionnalités (smartfilter, modélisation, méta lune…). Il est possible de pénétrer dans la structure d'un organe jusqu'à l'ADN. Cette version démultiplie possibilités et précision.
Version 25 : Idem version 21 + scanner automatique en 3D avec la mire + nouvelles cibles et nouvelles fréquences. La précision du scan automatique est significativement améliorée. Cette version reste, selon nous, la référence de la technologie NLS.
Version 25 clinic : Idem version 25 avec des images 3D qui tournent sur elles-mêmes.
Publication médicales et études cliniques, hors champs d’application pour l’appareil de Biorésonance non médical Aumscan
Des études cliniques et médicales ont été effectuées en Russie sur base du « père » de ces appareils : le Métatron (voir histoire des marques).
Cliquez ci-dessous pour découvrir ces études :
1. Nls adrenal5
2. NLS digestiv
3. NLS knee
4. NLS spinel
5. NLS hepatic
6. NLS pielo4
7. NLS tumor
8. NLS vertebro
Cadre législatif européen applicable à la pratique de la Biorésonance NLS
Pratique
La pratique de la biorésonance est libre et il n'est pas nécessaire d'avoir un diplôme médical pour exercer. Le logiciel est simple d'utilisation, cependant, une formation est indispensable pour utiliser correctement un appareil NLS. Nous constatons malheureusement que de nombreux praticiens font l'acquisition d'appareils NLS de faible qualité vendus avec des formations « flash » de quelques heures. Il n'est pas possible, de notre point de vue, d'avoir une pratique de biorésonance de qualité avec un appareil mal calibré et une formation insuffisante.
Législation appareil
Tous les appareils qui allèguent effectuer un diagnostique ou un traitement médical avec des effets directs ou indirects sur une maladie… ou Tous les appareils qui utilisent des mots comme « patients », « thérapie » ou « méta thérapie», « traitements », « remèdes »… ou Tous les appareils qui sont à destination des « praticiens de santé » Sont des DISPOSITIFS MEDICAUX (loi….) et doivent avoir une certification spécifique. Les appareils qui effectuent des bilan énergétiques, ou bilans de terrains…, dans lesquels les mots réservés au domaine de la santé ont été expurgés…à destination du bien être ou du confort, ne sont pas des dispositifs médicaux. En tant que praticien, vous devez vous renseigner avant votre achat et demander des garanties écrites.
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